VAP'BREVES: Awọn iroyin ti ipari ose ti Keje 23 ati 24, 2016

Il y’a quelques jours, nous évoquions avec vous le sujet de la nicotine en Australie. Il faut savoir que si son usage « récréatif » est interdit (pour la e-cigarette par exemple), il est possible d’en avoir avec une ordonnance. Un paradoxe qui pourrait pousser les institutions Australiennes a classer la e-cigarette comme médicament dans le futur. D’ailleurs, la Malaisie pourrait bien suivre cet exemple en classant la e-cigarette comme produit pharmaceutique. (Wo nkan naa)

Alors que les Etats-Unis sont encore en pleine période d’élection présidentielle, une annonce interdisant la e-cigarette dans les conventions nationales démocrates fait un peu tache. Il faut croire qu’Hillary Clinton ne souhaite pas défendre l’e-cigarette. (Wo nkan naa)

Les acteurs de la lutte contre le tabac demandent au président de la République de signer les décrets d’application de la loi anti-tabac, adopté en Conseil des ministres. Ce qui permettrait d’appliquer cette loi qui interdit, entre autres, de fumer dans les lieux publics, de faire la publicité, de mettre des avertissements sanitaires sur les paquets de cigarettes. (Wo nkan naa)

Selon le site « News Optimist », les mouvements qui visent à interdire ou à restreindre la vape ne parviennent tout simplement pas à reconnaître la valeur que les e-cigarettes ont en tant que dispositifs de réduction des risques.  (Wo nkan naa)

Une étude menée par des chercheurs du North Dakota State University a révélé que 51% des étiquettes provenant de e-liquides de 16 magasins du Dakota du Nord ne reflétaient pas précisément les niveaux de nicotine trouvés dans les produits. Pour un cas précis, les niveaux de nicotine réels étaient 172% fois plus important que prévu. (Wo nkan naa)

Une nouvelle étude de l’Hôpital pour enfants Stollery, à Edmonton, montre que de plus en plus d’adolescents font usage de la cigarette électronique, ce qui peut mener à une dépendance à la nicotine. (Wo nkan naa)

 L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) souhaite dans le cadre de ce point d’information rappeler le statut réglementaire de ces produits de consommation courante. (Wo nkan naa)